JOB ET JOIE

Et oui… c’est la rentrée !

Et si, plein d’énergie de bonheur accumulée pendant nos vacances, nous choisissions de rester dans ce dynamisme tout au long de notre retour dans la vie professionnelle.

Nombreux sont ceux à en être de plus en plus convaincus : le management par le plaisir représente l’avenir.

Remettre l’humain au coeur des préoccupations de l’entreprise, c’est parler collaboration, intelligence émotionnelle, sens, perspectives… Vincent Barat, du Cabinet d’Akoya Consulting (Cabinet de conseil en stratégie) le déclare avec raison  » les grandes sociétés qui ne changent pas leur mode de management et leurs organisations vont perdre la guerre des talents ».

Il suffit de voir tous ces jeunes qui , issus des meilleures écoles ou ayant été formés à l’étranger , se tournent vers des entreprises qui leur permettent de s’épanouir dans leur job.

Lorsque l’on interroge les Français sur leur motivation au travail, ils placent en tête et dans cet ordre : la confiance, la responsabilisation, la qualité des relations humaines.

Aujourd’hui, travail doit rimer avec sens, liberté, progression, coopération, reconnaissance…Des paramètres que les entreprises doivent prendre en considération si elles veulent attirer et retenir les meilleurs aujourd’hui et être prises au sérieux… demain !

Mais en matière de bien-être au travail, il faut arrêter de gesticuler (les chiefhappiness officers, les « jolis » bureaux, les valeurs positives et humanistes affichées au mur… qui sont autant de rustines qui , si elles ne font pas de mal, ne font pas de bien non plus) !

Pour qu’un salarié se sente bien au travail, l’organisation doit lui apporter un ensemble de solutions plutôt qu’un ensemble de problèmes !

On distingue ainsi 3 facteurs d’épanouissement :

  • la confiance à créer entre chacun des membres de l’équipe pas évidente à créer dans un pays comme la France,
  • la simplicité : le management doit devenir une aide, un soutien, un accompagnement,
  • la bienveillance : il est important de cesser de mettre en doute a priori l’action d’un employé et mettre au contraire en avant l’écoute, la parole, la compréhension.

Parler de bienveillance en entreprise a-t’elle un sens? La bienveillance n’est pas faite que d’abstention. Cela ne veut pas dire gérer a minima.  Elle ne consiste pas uniquement à ne pas nuire à autrui.

Elle vise à extirper les grosses et petites formes de mépris, elle traque et éloigne les pratiques discriminatoires, elle conduit à la prévenir la perte de sens, le blocage des horizons professionnels et la routine.

Belle reprise à tous !

 

NOS FORMATIONS :

  • Lundi 25 septembre : Atelier de Co développement- Paris
  • Mardi 26 septembre : Savoir se motiver – Etampes
  • Mardi 3 octobre : Master Coaching
  • Mercredi 11 octobre : Conférence

 

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